Lac de Crop par le pont de la Betta

Petite sortie en vitesse au lac de Crop avec Jean-Marc, mais par le pont de la Betta cette fois-ci.

La sortie est plus courte que depuis le pré Marcel. La montée est annoncée en 1h50 depuis le pont, ce qui s'avère correct.

Retour prévu à Crolles pour midi. L'objectif a été tenu.

Le temps est maussade mais finalement ni froid ni humide, passé une certaine altitude.

Topo :

- départ 7h30 du parking du pont : la route est fermée pour travaux, mais il est possible de circuler le dimanche,

- arrivée au lac à 9h15,

- approche d'un groupe de chamois,

- retour par le chemin de l'aller,

- retour à 11H30 au parking.

Il y a une très grosse quantité d'eau suite aux intempéries ces derniers jour. La neige des sommets fond également.

Par endroit le chemin est noyé sous l'eau de ruissellement.

Voici la cascade au pont de la Betta.

Le pont sur le ruisseau de Crop. Il faut se mouiller les pieds pour y accéder et le franchir. (un peu bêta pour le coup)

Le chemin qui monte sous le verrou du lac, verrou au milieu de la photo.

Vue sur les cascades qui proviennent du ruisseau de Crop en résurgence sous le lac.

Sur les petits alpages nous distinguons quelques chamois en montant. Nous irons nous promener sur l'alpage de droite par la suite.

Le premier sommet sans neige sur la gauche est le Jas des Lièvres. Le lac de la Jasse est sur l'autre versant.

Vue sur la station de ski de Prapoutel puis la Chartreuse (gauche) et les Bauges (droite) qui encadrent la vallée de Chambéry.

Les hauts de Chartreuse (réserve naturelle) : de la Dent de Crolles au Granier (ou Rochers de BellesOmbres plus exactement).

Du Chamechaude à la Dent de Crolles avec la mer de nuage sur le Grésivaudan.

Premier aperçu du lac : la neige a disparu. La couleur de l'herbe indique qu'il a fait froid.

Nous ne monterons pas jusqu'au Lac Bleu au dessus de la cascade à l'autre bout du lac par faute de temps.

Une légende dit que celui qui voit la pierre au fond du lac devient aveugle.

Le Grand Replomb domine le lac. A gauche la cascade avec le second lac caché derrière.

 

La photo n'est pas de moi...

Direction l'alpage des chamois : Il y a par endroit des traces d'un sentier mais cela reste assez confus.

Après avoir escaladé à travers herbe, pierrier et quelques arbres nous arrivons en quelques minutes à l'alpage le plus haut.

Nous y trouvons une petite construction à la Tim Burton du style de celle de "Charlie et la chocolaterie".

Ce n'est pas un alambic. 

 

C'est l'habert du Ferrouillet d'après la carte. Le confort intérieur est rudimentaire.

L'eau ruisselle en abondance à proximité.

Monde minéral !

Les chamois nous surveillent depuis le replat du haut à droite.

Le temps se gâte au fond... Il est temps de redescendre.

La carte indique un chemin depuis l'habert jusqu'au pont de la Betta. Sur place, nous ne voyons pas de chemin et retournons donc sur nos pas pour respecter nos contraintes horaires.

Chemin du retour donc :

Au lieu de grimper à nouveau aux arbres pour retourner au lac puis redescendre, nous allons chercher le chemin qui passe sous le verrou. (Les arbres en question sont au milieu de la photo, à gauche du verrou.)

Le chemin du départ à rejoindre au loin.

L'autre jour, nous étions arrivé par les prairies du fond. Le pré Marcel est sur le versant caché.

Voilà où nous retrouvons le chemin de l'aller : dernière le cairn le chemin jusqu'à la cabane et à droite la montée au lac.

La lumière étant meilleure qu'au départ, je prends les photos des différentes mousses repèrées à l'aller.

Wilderness...

Retour au point de départ.